• AVANT LA CAMPAGNE : Les candidats sur le starting-block.

     

    L’échauffement bat son plein. Plusieurs candidats à l’élection  présidentielle 
    entrent dans la ligne droite de la mobilisation, avant la  campagne électorale qui

    s’ouvrira dans moins de deux semaines.
    Edgard  Razafindravahy a repris son bâton de pèlerin pour rallier  Mahajanga ce  week-end. L’ancien président de la délégation spéciale d’Antananarivo a  initié un rassemblement avec ses partisans dans la  capitale de la  région Boeny.

    L’ancien Premier ministre Camille Vital s’est déplacé à Manjakandriana.

    Il a poursuivi son périple à Mora­manga et à   Brickaville.

    Hery Rajaonarimampianina a également choisi la partie  orientale de l’île pour

    rattraper son retard sur le terrain. Il a   choisi Vatomandry et Toamasina et a prétexté 
    l’inauguration de son quartier général régional pour organiser une  manifestation

    dans le  Grand port tout en sensibilisant l’opinion à  aller aux urnes.

     

    De son  côté, Benjamin Andria­m­parany Radavidson a sillonné le Sud-Est. Il a  visité plusieurs villes dans les régions Vatovavy-Fitovinany et  Atsimo-Atsi­nanana. 

    Message aux électeurs

    Hajo  Andrianainarivelo a, lui, choisi Fianarantsoa pour son déplacement.

     

    Julien Razafimanazato a tenté de renforcer sa présence  dans sa région  d’origine. Comme Hery Rajaonarimampianina, il a lancé un message  incitant les gens à aller voter dans plusieurs localités de la région Sofia.

     

    Pierrot Rajaonarivelo, quant à lui, a ciblé les jeunes de la  capitale. Ses alliés, des groupes de jeunes, ont organisé hier un   rassemblement avec une forte présence d’artistes à Antsahamanitra.

    Pour  l’instant, Jean-Louis Robinson, essaye de gérer la période qui suit  l’annonce du soutien de la mouvance Ravalomanana à son endroit.

    Il  s’est empressé d’organiser une conférence de presse, avec la  présence  des ténors de la plateforme, pour saisir la perche tendue  par l’ancien  président.


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  • TGV IFANADIANA :

    « Lavinay ny fandatsahana olona hiteraka korontana »

    Mandà sy manohitra marindrano ny fandatsahan’ny birao foiben’ny Tgv olona tsy mahafeno fepetra rantsan’ny antoko ao Ifanadiana. 3 septembre 2013

    « Olona efa nifampierana amin’ny rantsan’ny antoko avy eny Ifotony no tokony ho kandidà depiote ». « Lavinay, araka izany, ny fandatsahana olona avy any ambony izay hiteraka adihevitra sy fifandroritana ary ahiana tsy hahazo vato akory amin’ny fifidianana. Ny olona alatsaka fotsiny toy izany rahateo tsy mahalala ny tena zava-misy marina eto Ifanadiana, indrindra raha tsy nipetraka teto akory na avy eto Ifanadiana aza », hoy ireo mpikambana Tgv ao an-toerana.

    Mivonona hanohitra olona tsy mahafeno ny fepetra tena takian’ny Distrika ny Tgv any Ifanadiana. « Ny tena fampandrosoana marina izao no andrasana amin’izay olom-boafidy manaraka eo ka olona azo antoka fa mahalala tsara ny filàna eto Ifanadiana, efa nanao asa ho an’ny vahoaka sy mahay mifanerasera amin’ny mponina sy ny Olobe no heverina fa kandidà mendrika ny Tgv ao anatin’ny Parlemanta », hoy ihany izy ireo.

    Nohazavain-dRavaonirina Irina ihany koa fa miisa 48 840 ny mpifidy efa voaisan’ny Cenit ao Ifanadiana. Efa hatramin’ny volana jolay anefa no simba ny fitaovana fanamboarana kara-panondro ao amin’ny Distrika ka nampiato ny hetsika karatra maimaim-poana any an-toerana ary tsy mbola nisy ny fanamboarana natao. Karatra 3 000 no voalaza fa nihantona ny fanamboarana azy noho ny fahasimban’io fitaovana fanamboarana karatra io. Manao antso avo ny hamerenana amin’ny laoniny ny hetsika kara-panondro, araka izany, ny tenany tsy hahavery zo ireo ampy taona rehetra.

    Marihina fa Distrika manan-karena mampiavaka azy sy tombony betsaka eo amin’ny fambolena sy harena an-kibon’ny tany, tena ahafahana mampandroso azy Ifanadiana saingy nataon’ny mpanao politika fitaovana foana hatramin’izay. Ankehitriny, ny tena fampandrosoana io Distrika misy Kaominina 13 mbola tena faralahin’ny fampandrosoana io no tanjon’ny antoko Tanora Gasy Vonona ao an-toerana, izay Ravaonirina Irina no lehiben’ny departemantan’ny antoko.

    Nanamafy ity farany, fa mila olona tena mahalala tsara ny filàn’ny mponina eny ifotony sy efa manana traikefa amin’ny fanatanterahana asa isan-tsokajiny ary mahay mifanerasera amin’ny mponina any an-toerana i Ifanadiana.


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  • Le sommet de Maputo, qui réunit, au Mozambique, les principaux leaders politiques malgaches, s'est terminé ce vendredi sans qu'aucun accord sur la présidence et la mise en place d'un gouvernement de transition n'ait été signé.

    Vendredi 28 août 2009

    Par Dépêche  (texte)

     

    AFP - Le sommet de Maputo sur la crise à Madagascar a pris fin dans la nuit de jeudi à vendredi sans que les 4 dirigeants malgaches trouvent un accord sur les nominations du président de la transition, du Premier ministre et du vice-président, a annoncé la médiation.
       
    "L'équipe conjointe de médiation internationale a le regret d'informer (...) que les chefs de file des mouvances ont été dans l'impossibilité de trouver un consensus sur les postes-clés de la transition", a déclaré le représentant de l'Union africaine (UA), Ablassé Ouédraogo, lisant un communiqué de la médiation.
       
    L'actuel homme fort de Madagascar Andry Rajoelina, son rival Marc Ravalomanana, évincé en mars du pouvoir, et deux anciens présidents malgaches ont jusqu'au 4 septembre pour rechercher un consensus, a-t-il poursuivi.
       
    Ils se sont cependant mis d'accord pour les trois postes de vice-Premiers ministres, les présidences du Parlement et de deux autres institutions.
       
    L'attribution des postes de président et du Premier ministre ont bloqué depuis le début du sommet mardi les négociations sur la répartition des postes-clés au sein des organes de transition.
       
    M. Rajoelina a tenu à rester à la tête du pays et conserver le Premier ministre qu'il avait nommé en février mais son rival Marc Ravalomanana a refusé de lui donner la présidence.
       
    "Nous n'accepterons jamais de légitimer Andry Rajoelina comme président de la transition (...) Ce n'est pas normal de légitimer un porteur de coup d'Etat comme président de la transition", a déclaré à la presse M. Ravalomanana qui n'est "pas satisfait" par le résultat de ce sommet.
       
    La médiation a fait état de blocage au niveau du poste de Premier ministre, les mouvances n'acceptant pas que le camp Rajoelina cumule ce poste avec celui de président.
       
    Les quatre hommes ont signé le 9 août, lors d'une première rencontre à Maputo, un accord sur une transition afin de mettre un terme à la grave crise politique qui affecte Madagascar depuis janvier.
       
    Cet accord prévoit la mise en place d'un nouveau gouvernement de transition et l'organisation d'élections d'ici fin 2010. Mais les discussions avaient achoppé sur l'attribution des postes au sein des nouvelles institutions.

     


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  • AFP PHOTO/CARLOS LITULO

    Mercredi, août 26, 2009 - 07:20

    Liste des brèves AFP

     

    Par Alexandra LESIEUR.

     

    Les leaders malgaches, tombés d'accord il y a deux semaines sur un cadre de transition, ont exposé mardi leurs propositions de partage de pouvoir et ont prévu, faute d'accord, de reprendre mercredi matin les négociations pour sortir Madagascar de la crise politique.

    L'actuel homme fort de Madagascar, Andry Rajoelina, son rival Marc Ravalomanana, ancien président évincé en mars, et deux ex-chefs d'Etat ont débattu d'une proposition de la médiation internationale, lors de cette première journée de discussions sur la répartition des postes-clés au sein des organes de transition.

    "Il y a des propositions et ils vont y réfléchir. La médiation reste optimiste, c'est difficile mais une conclusion heureuse pourrait intervenir demain", a déclaré à la presse le médiateur de l'Union africaine, Ablassé Ouédraogo.

    "Demain (mercredi), ils vont commencer à négocier sur la base de ce qui a été dit jusqu'à présent. Il y a des bases pour faire des négociations", a nuancé le chef de la médiation internationale, l'ex-président mozambicain Joaquim Chissano.

    Les quatre chefs de file malgache, représentant les principales mouvances politiques de la Grande Ile, s'étaient rencontrés pour la première fois à Maputo où ils avaient signé le 9 août un accord mettant en place une période de transition politique.

    Ils étaient tombés d'accord sur l'instauration d'un nouveau gouvernement de transition et sur l'organisation d'élections d'ici fin 2010 pour sortir Madagascar de la crise politique dans laquelle l'Ile s'enfonce depuis janvier. Mais les discussions avaient achoppées sur la répartition des postes-clés.

    M. Rajoelina, à la tête d'une délégation renforcée avec le Premier ministre Monja Roindefo, s'est déjà posé comme le futur patron de la période de transition. "On ne peut pas imaginer que ce soit quelqu'un d'autre", a prévenu mi-août l'ex-opposant porté au pouvoir par l'armée, qui a forcé M. Ravalomanana à l'exil.

    Une proposition inacceptable pour le camp Ravalomanana. "Nous sommes contre Rajoelina président. Mais si nous sommes à la table des négociations, c'est que nous tenons compte de la mouvance Rajoelina. Qu'il prenne la primature ou un autre poste!", a estimé, sous couvert d'anonymat, un membre de la délégation du président évincé.

    Selon la proposition de la médiation qui sert de base de travail pour tenter de trouver un terrain d'entente, les postes les plus convoités de président et de Premier ministre reviendraient respectivement à M. Rajoelina et à une personne neutre, n'appartenant à aucune mouvance, a indiqué un membre de la médiation.

    La mouvance Ravalomanana obtiendrait un poste de vice-Premier ministre et la présidence du Congrès de transition (chambre basse du Parlement).

    "Comme toutes négociations, ça ne se présente pas facilement", reconnaît le médiateur de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), Edem Kodjo. Mais ce dernier estime, tout comme l'ex-président malgache Albert Zafy, que "le plus difficile est déjà fait".

    La question du retour de M. Ravalomanana, un des principaux obstacles à la transition, avait été réglée lors du premier sommet, après avoir monopolisé plus de la moitié des débats. Le président évincé, qui vit en Afrique du Sud, avait accepté de ne retourner à Madagascar que lorsque la situation serait "favorable".

    Sa condamnation à quatre ans de prison pour l'achat controversé d'un avion présidentiel a été levée et plusieurs de ses partisans ont été libérés, dont Manandafy Rakotonirina, assigné à résidence pendant quatre mois et aujourd'hui candidat au poste de Premier ministre.

    Après ces premières avancées, la France a demandé mardi aux leaders des quatre principales mouvances d'agir "dans le même esprit constructif que celui ayant présidé à la première session, début août", selon un porte-parole du Quai d'Orsay.

     

     


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    LEMONDE.FR avec AFP | 26.08.09 | 06h49  •  Mis à jour le 26.08.09 | 07h14

    Les leaders malgaches, tombés d'accord il y a deux semaines sur un cadre de transition, ont exposé, mardi 25 août, leurs propositions de partage de pouvoir et ont prévu, faute d'accord, de reprendre mercredi matin les négociations pour sortir Madagascar de la crise politique. L'actuel homme fort de Madagascar, Andry Rajoelina, son rival Marc Ravalomanana, ancien président évincé en mars, et deux anciens chefs d'Etat ont débattu d'une proposition de la médiation internationale, lors de cette première journée de discussions sur la répartition des postes-clés au sein des organes de transition.

    "Il y a des propositions et ils vont y réfléchir. La médiation reste optimiste, c'est difficile mais une conclusion heureuse pourrait intervenir demain", a déclaré à la presse le médiateur de l'Union africaine. "Demain (mercredi), ils vont commencer à négocier sur la base de ce qui a été dit jusqu'à présent. Il y a des bases pour faire des négociations", a nuancé le chef de la médiation internationale, l'ancien président mozambicain Joaquim Chissano.

    "ON NE PEUT PAS IMAGINER QUE CE SOIT QUELQU'UN D'AUTRE"

    Les quatre chefs de file malgaches, représentant les principales mouvances politiques de la Grande Ile, s'étaient rencontrés pour la première fois à Maputo où ils avaient signé le 9 août un accord mettant en place une période de transition politique. Ils étaient tombés d'accord sur l'instauration d'un nouveau gouvernement de transition et sur l'organisation d'élections d'ici fin 2010 pour sortir Madagascar de la crise politique dans laquelle l'île s'enfonce depuis janvier. Mais les discussions avaient achoppées sur la répartition des postes-clés.

    M. Rajoelina, à la tête d'une délégation renforcée avec le premier ministre, Monja Roindefo, s'est déjà posé comme le futur patron de la période de transition. "On ne peut pas imaginer que ce soit quelqu'un d'autre", a prévenu mi-août l'ex-opposant porté au pouvoir par l'armée, qui a forcé M. Ravalomanana à l'exil. Une proposition inacceptable pour le camp Ravalomanana. "Nous sommes contre Rajoelina président. Mais si nous sommes à la table des négociations, c'est que nous tenons compte de la mouvance Rajoelina. Qu'il prenne la primature ou un autre poste !", a estimé, sous couvert d'anonymat, un membre de la délégation du président évincé.

     


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