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FLASH INFO! FLASH INFO! FLASH INFO!
Flash info ! - 18/02/11
- La ministre de la Justice Malgache a déclaré ce matin que les sentences à l'encontre de Marc Ravalomanana seront appliquées si ce dernier retourne au pays. Dans le cas où il ne rentrera pas, ceux qui ont annoncé son retour feront l'objet d'une arrestation.
- Le ministre des Forces armées Malgache a déclaré que des mesures seront prises à l'encontre des militaires qui feront montre de désobéissance.
Flash info ! - 17/02/11
LE PRESIDENT ANDRY RAJOELINA DECLARE: "Marc Ravalomanana a déjà été condamné par la justice. S’il revient, l’Etat prendra ses responsabilités".
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Commentaires
2RamiandryJeudi 17 Février 2011 à 15:19RA8 avalona
on n'attend que la justice concernant ce monsieur soit appliquée, le peuple on en a assez de la corruption et d'impunité, s'il vient à mettre les pieds à madagascar, tant mieux, il ira s'expliquer devant le tribunal un point c'est tout!3mouahahahahaJeudi 17 Février 2011 à 18:12
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Monsieur Ravalomanana a démissionné de son propre chef. Il n'y a rien à plus rien à dire de ce personnage peu respectable et même devenu personnage abject. Le discours de cet ex-président déchun’est pas étonnant. Il est pitoyable avec ces flagrants délits de mensonges dans lesquels même ses partisans les plus fanatisés ne se retrouvent pas. Ainsi n’est-il pas pour lui difficile de convaincre ses ex-pairs africains de la Sadc qu’il a été contraint de démissionner ce fameux 17 mars 2009, un pistolet sur la tempe, et la famille cachée dans la forêt ! On est en plein délire digne d'une science fiction !! On le sait mythomane mais pas au point d’en manifester les aspects devant une assemblée de chefs d’Etat africains. Par ailleurs, il faut se rappeler que l'Union Africaine, la CEMAC, la SADC etc sont des clubs de chefs d'Etat, dictateurs pour la plupart, qui poussent parfois le ridicule jusqu'à se réclamer des chantres de la démocratie, alors qu'ils ne se soucient que d'une chose, s'accrocher au pouvoir. Méprisant souverainement les règles d'alternance qui irriguent toute bonne démocratie. L'exercice est facile et confortable d'autant plus qu'il vise à dissuader quelques fantassins qui auraient la trop téméraire ambition de renverser l'un de ces chefs d'Etat. Une condamnation qui, en toile de fond, fortifie les régimes parfois corrompus et sanguinaires qui ne pensent qu'à produire les mécanismes de leurs propres survies. A titre d'information, un mandat d'arrêt pèse sur la tête de ce monsieur pour avoir érigé en mode de gouvernement l’exclusion, les arrestations arbitraires, la confusion entre les intérêts d’Etat et ceux de sa propre entreprise. C’est un ras le bol généralisé, exacerbé par l’accroissement de la pauvreté et les violations répétées des Droits de l’Homme, qui s’est exprimé. Sur cette vague de mécontentement, Andry Rajoelina a joué, en tant que maire de la capitale, un rôle de détonateur pour mobiliser la population. Ironie de l’histoire, c’est la rue, qui avait porté Ravalomanana au pouvoir, qui l’en a chassé. Il a payé pour avoir créé un dangereux précédent.